PRESSE – TADEUSZ SZLENKIER & DORIS LAMPRECHT Cavalleria rusticana & Pagliacci – Opéra de Saint-Etienne

• PRESSE •

TADEUSZ SZLENKIER • Turiddu & Canio
DORIS LAMPRECHT • Mamma Lucia

• Cavalleria rusticana & Pagliacci • Opéra de Saint-Etienne • Mars 2025

“Le ténor polonais TADEUSZ SZLENKIER fait le trait d’union entre les deux œuvres. Voix large et puissante, aux aigus d’un métal tranchant, il ne fait qu’une bouchée de Turiddu, et ses adieux à la Mamma sont d’une extraordinaire intensité, comme son « Vesti la giubba »”
✏️ Patrice Henriot – Opéra Magazine

“TADEUSZ SZLENKIER, tout aussi vocalement musclé, possède un timbre lumineux, homogène sur toute la tessiture. (…) son « Voi lo sapete, o mamma » échappe à la fois au forte à volonté et à la pleurnicherie pour trouver des accents humains, grâce justement au recitar cantando dû à la belle articulation.
… la mamma Lucia de cette production… DORIS LAMPRECHT lui prête un chant solide et nuancé qui sait être puissant le moment venu. Son visage au dernier instant est celui-même du masque de la tragédie. L’effet est saisissant.”
✏️ Gérard Loubinoux – Résonances lyriques

“Mamma Lucia, interprétée par la mezzo-soprano DORIS LAMPRECHT, présente un jeu tout aussi sensible et captivant. À l’écoute de ses partenaires de scène, elle exprime toute l’inquiétude d’une mère.”
✏️ Marjorie Cabrol – Olyrix

“le ténor polonais TADEUSZ SZLENKIER, véritable révélation de la soirée et pilier expressif des deux actions ; son mérite est d’autant plus convaincant et même impressionnant qu’il chante dans chaque action, le personnage le plus fort, le plus troublant aussi (Turiddu / Canio), auquel est réservé l’air le plus exigeant dramatiquement. Son tempérament d’acteur se double d’une endurance admirablement tenue.
TADEUSZ SZLENKIER n’a pas seulement la puissance et une technique extrêmement solide [chantant aujourd’hui tous les héros verdiens et pucciniens sans omettre l’Empereur de La femme sans ombre de Richard Strauss (!)], il est aussi un acteur tragique saisissant de justesse, sachant éviter tout dérapage (c’est à dire tout pathos exacerbé), délivrant ce vérisme mesuré, incarné, avec un sens naturel du texte. Conviction du jeu, entre équilibre et intensité, sobriété mais présence dramatique, aigus faciles, soutenus, naturels,… ses qualités sont superlatives.
Dans Cavalleria c’est moins sa confrontation avec Santuzza qui touche, que ses duos avec sa mère [Mama] en particulier le dernier où il dit adieu en sachant qu’il est condamné à mort ; puis face à Alfio, quand il avoue sa tendresse pour Santuzza et son inquiétude quand au destin de celle-ci, s’il vient à mourir… Confession bouleversante à laquelle le chanteur sait conférer toute la vérité requise. L’acteur ici égale la puissance et la justesse émotionnelle du chanteur ; son chant est éblouissant d’intelligence. Même engagement superlatif dans I PAGLIACCI ou son fameux air final au bord du ring de boxe (avant de tuer Nedda), est lui aussi franc, direct, d’une étonnante sincérité. De bout en bout sa prestation est époustouflante et ses deux personnages, bouleversants. En exprimant toutes leurs failles profondes, l’acteur-chanteur touche au cœur.”
✏️ Alexandre Pham – Classiquenews

“TADEUSZ SZLENKIER (Canio) excelle dans l’un des rôles les plus connus du répertoire, livrant un « Vesti la giubba » poignant et un final glaçant avec son célèbre « La commedia è finita ! ». À la fois froid, impitoyable et violent, il se montre lors de ces passages clés sensible et profondément affecté par la situation.”
✏️ Aurélie Mazenq – Première Loge

“TADEUSZ SZLENKIER fait très forte impression en Turiddu, une voix claire et bien projetée d’abord entendue depuis les coulisses pour sa première intervention. Une fois arrivé sur le plateau, l’instrument revêt de belles couleurs, dispose d’une confortable assise dans le grave et s’avère capable de délivrer des aigus particulièrement vaillants.
Dans I Pagliacci… Le ténor continue… de ravir, ne s’économisant en rien, et en premier lieu dans un Vesti la giubba d’une grande densité, aux aigus enflés et tenus longuement.”
✏️ Irma Foletti – Anaclase

📸 Cyrille Cauvet

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