•• PRESS •• NICOLA BELLER CARBONE
Sylvie Meyer • OTAGES de Sebastian Rivas / Nina Bouraoui • Opéra de Lyon & GRAME • Mars 2024
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“Sylvie Meyer est incarnée puissamment par la soprano Nicola Beller Carbone, qui lui insuffle une densité et une intensité humaines remarquées. D’une présence hypnotique saisissante du début à la fin, elle sait rendre les ambigüités du personnage, ses failles, ses colères, ses faiblesses aussi. La voix est virtuose à sa manière, avec la plus grande palette expressive qui soit : d’une belle voix sombre et habitée, le chant est expressif toujours et lyrique un bref instant nostalgique”
✏️ Joël Heuillon – Olyrix
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“la femme, elle, mise essentiellement sur l’expression parlée, que Nicola Beller Carbone, mezzo-soprano allemande à la riche palette trop rarement employée, investit avec de grandes qualités théâtrales.”
✏️ Pierre Gervasoni – Le Monde
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“On admire les deux interprètes, très bien dirigés. Ils offrent, en effet, jusque dans le statisme, un impact saisissant. En particulier, Nicola Beller Carbone, dans le rôle de Sylvie Meyer, sur qui tout repose.
✏️ Pierre Flinois – Opéra magazine
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“Celle qui porte toute la représentation sur les épaules est Nicola Beller Carbone – que nous avions déjà entendue à Lyon dans une autre mise en scène de Richard Brunel. Elle incarne jusque dans la profondeur des os cette Sylvie, cette femme ordinaire qui en sort par son acte libérateur – mais répréhensible. Même les gros plans projetant son visage à maintes reprises ne laissent jamais voir l’interprète mais bien le personnage. La diction est exemplaire, tant dans le parlé que le chanté ou l’entre-deux. Elle passe d’ailleurs de l’un à l’autre, parfois dans la même phrase, avec naturel – peut-être davantage grâce à son talent que la partition – et incise les mots par sa verve. Jamais excessive, jamais retenue, elle nous porte et nous emporte avec un talent remarquable.
✏️ Elodie Martinez – Opera Online
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“l’ouvrage en création, à la coupe implacable, met surtout en avant les capacités d’une seule artiste, en l’occurrence la soprano à fort tempérament, Nicola Beller Carbone. C’est un thriller opératique qui exige de la chanteuse un vrai talent d’actrice car elle parle au moins autant qu’elle chante ; elle « se raconte » et témoigne tout du long, comme si en s’adressant aux spectateurs, elle répondait au policier chargé de l’enquête suite à son arrestation… ”
✏️ Alexandre Pham – Classiquenews
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“La mezzo-soprano Nicola Beller-Carbone donne à son personnage une incarnation vraiment touchante, construite sur une écriture où le langage parlé prend l’essentiel de l’espace expressif et limite le chant à des moments de tension extrême comme si la voix tentait de lutter pour pouvoir s’épanouir. Cadrée de face par l’objectif de la caméra, elle témoigne d’une lente descente aux enfers qu’on suit narrativement en remontant vers le geste de l’agression envers le patron harceleur. ”
✏️ David Verdier – Altamusica.com
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“Dotée à la fois d’une forte présence et d’un solide rapport aux mots, la soprano Nicola Beller Carbone fait ainsi montre d’une évidente autorité dans le rôle autrefois porté à la scène par des comédiennes telles que Christine Citti, Marianne Basler ou encore Anne Benoit déjà mise en scène par Richard Brunel dans un même décor de dédale d’entreprise.”
✏️ Christophe Candoni – Scène Web
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“Sylvie Meyer est campée par Nicola Beller Carbone, qui prête à l’héroïne une belle présente scénique”
✏️ Benoît Fauchet – Diapason
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“Sylvie parle en quasi-permanence et l’on a presque envie de rendre davantage hommage à l’incarnation théâtrale au sens large de Nicola Beller Carbone qu’à sa prestation vocale – irréprochable et engagée.”
✏️ Yannick Boussaert – Forum Opera
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“L’implication théâtrale et vocale de Nicola Beller Carbone (ex-mémorable Salomé), scrutée de près par une vidéo qui agrandit son beau visage de femme fatiguée sur les parois du décor, celle de Ivan Ludlow (…) sont captivantes…”
✏️ Jean-Luc Clairet – Resmusica
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📸 Jean-Louis Fernandez